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Nombresen lettres : Vingt, cent et mille - cours. Les adjectifs numéraux cardinaux " vingt" et " cent " prennent un " s" s'ils sont multipliés et s'ils ne sont pas suivis d'un autre adjectif numéral. On écrira deux-cents, trois-cents, neuf-cents, mais seul quatre-vingts prend un "s" . Les rectifications de l'orthographe de 1990
Pourles chiens, pas de problÚme car ils sont omnivores et ont besoin de protéines, lipides et glucides. Il suffit de remplacer les protéines animales par des protéines végétales dans leurs croquettes. Pour les chats, c'est plus délicat car ils sont exclusivement carnivores. Ils ont besoin de taurine pour rester en bonne santé. Mais je
Ilsétaient vingt et cent, ils étaient des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés DÚs que la main retombe il ne
Ilsétaient vingt et cent, ils étaient des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants
esmes es tés es es x-mes t-es es 1 5 7 3 6 2 1 7 4 8 15 736 se lit Quinze mille sept cent trente-six unités. 7 est le chiffre des centaines ; 6 est le chiffre des unités. 217,48 se lit Deux cent dix-sept unités et quarante huit centiÚmes. 1
Site De Rencontre Sans Inscription Algerie. La chanson de Jean Ferrat est mise sur le site en hommage Ă Simone VEIL Paroles de la chanson Nuit et Brouillard» par Jean Ferrat Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et cent Ils se croyaient des hommes, nâĂ©taient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s DĂšs que la main retombe, il ne reste quâune ombre Ils ne devaient jamais plus revoir un Ă©tĂ© La fuite monotone et sans hĂąte du temps Survivre encore un jour, une heure, obstinĂ©ment Combien de tours de roues, dâarrĂȘts et de dĂ©parts Qui nâen finissent pas de distiller lâespoir Ils sâappelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel Certains priaient JĂ©sus, JĂ©hovah ou Vishnou Dâautres ne priaient pas, mais quâimporte le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre Ă genoux Ils nâarrivaient pas tous Ă la fin du voyage Ceux qui sont revenus peuvent-ils ĂȘtre heureux Ils essaient dâoublier, Ă©tonnĂ©s quâĂ leur Ăąge Les veines de leurs bras soient devenues si bleues Les Allemands guettaient du haut des miradors La lune se taisait comme vous vous taisiez En regardant au loin, en regardant dehors Votre chair Ă©tait tendre Ă leurs chiens policiers On me dit Ă prĂ©sent que ces mots nâont plus cours Quâil vaut mieux ne chanter que des chansons dâamour Que le sang sĂšche vite en entrant dans lâhistoire Et quâil ne sert Ă rien de prendre une guitare Mais qui donc est de taille Ă pouvoir mâarrĂȘter Lâombre sâest faite humaine, aujourdâhui câest lâĂ©tĂ© Je twisterais les mots sâil fallait les twister Pour quâun jour les enfants sachent qui vous Ă©tiez Vous Ă©tiez vingt et cent, vous Ă©tiez des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s Qui dĂ©chiriez la nuit de vos ongles battants Vous Ă©tiez des milliers, vous Ă©tiez vingt et cent
On est tous bouleversĂ©s par cette chanson qui Ă©voque la plus grande infamie, la plus grande tragĂ©die du XXĂšme siĂšcle les dĂ©portations, toutes leurs horreurs, la peur, l'angoisse d'ĂȘtres humains qu'on a vouĂ©s Ă la mort. La chanson s'ouvre sur l'Ă©vocation du nombre des victimes "vingt et cent, des milliers". La gradation met en Ă©vidence l'ampleur du massacre. On ne voit plus des ĂȘtres humains, mais une masse informe de silhouettes, designĂ©es par le pronom "ils", et ces ĂȘtres "nus, maigres et tremblants" enfermĂ©s dans "des wagons plombĂ©s" sont l'image mĂȘme du dĂ©sarroi sans dĂ©fense, humiliĂ©s par la nuditĂ© et la peur, on les voit "dĂ©chirer la nuit de leurs ongles battants". Cette image terrible restitue une sorte de rĂ©volte impossible et inutile, puisqu'elle s'acharne sur une ombre, une entitĂ© inconnue, et obscure... On a enlevĂ© Ă ces hommes, devenus "des nombres", toute humanitĂ© et toute espĂ©rance, car leur destin Ă©tait fixĂ© par leurs origines mĂȘmes "Depuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s", expression irrĂ©mĂ©diable qui suggĂšre qu'on ne leur a laissĂ© aucune Ă©chappatoire... On leur a ĂŽtĂ© tout avenir de bonheur, symbolisĂ© par l'Ă©tĂ© qu'ils ne devaient plus revoir... La description de ces convois de la mort est associĂ©e Ă la fuite monotone du temps, Ă l'obsession de survivre, malgrĂ© tout. Les Ă©numĂ©rations restituent une attente interminable et terrible "un jour, une heure, obstinĂ©ment Combien de tours de roues, d'arrĂȘts et de dĂ©parts." Quelques prĂ©noms sont, enfin, citĂ©s "Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel", ces ĂȘtres nous semblent, alors, d'autant plus proches et familiers, on perçoit une diversitĂ© de religions dans les destinataires de leurs priĂšres "Certains priaient JĂ©sus, JĂ©hovah ou Vichnou.", d'autres ne prient pas, mais tous refusent la soumission qu'on leur a imposĂ©e, marquĂ©e par une expression imagĂ©e et forte, "vivre Ă genoux..." La mort au bout du chemin pour beaucoup et un dĂ©sespoir sans fin pour ceux qui en sont revenus, tel Ă©tait le sort qui leur Ă©tait rĂ©servĂ©... La question posĂ©e "ceux qui sont revenus peuvent-ils ĂȘtre heureux ?" suggĂšre une impossibilitĂ© irrĂ©mĂ©diable. Les veines devenues si bleues sur leur bras, aprĂšs toutes ces Ă©preuves, soulignent encore les souffrances et les dĂ©tresses vĂ©cues dans les camps. L'Ă©vocation des miradors oĂč guettaient les allemands suffit Ă dessiner le dĂ©cor lugubre de ces camps la surveillance, la peur permanente, marquĂ©e par le silence..."la lune se taisait comme vous vous taisiez", comme si le paysage se mettait Ă l'unisson de la douleur des dĂ©portĂ©s.... L'espoir de l'Ă©vasion se traduit par le verbe "regarder" rĂ©pĂ©tĂ©... le regard porte au loin, dans une envie de fuir ces lieux sinistres, mais la prĂ©sence des chiens policiers apparaĂźt menaçante dans l'expression contrastĂ©e "Votre chair Ă©tait tendre Ă leurs chiens policiers." Certains voudraient oublier tous ces Ă©vĂ©nements, les taire, mais le poĂšte affirme la nĂ©cessitĂ© de dire l'atroce rĂ©ailtĂ©, mĂȘme Ă travers une chanson... oui, pour de telles causes, l'engagement est nĂ©cessaire, pour Ă©viter l'oubli, car "le sang sĂšche vite en entrant dans l'histoire". Au poĂšte engagĂ©, les chansons d'amour ne suffisent pas, quoi que puisse dire la foule reprĂ©sentĂ©e ici par le pronom "on". Le poĂšte veut crier au monde ce qui s'est passĂ©, il refuse l'oubli et personne ne l'arrĂȘtera "Mais qui donc est de taille Ă pouvoir m'arrĂȘter ?" La question oratoire montre la force d'une conviction, et le poĂšte est prĂȘt Ă "twister" les mots pour faire entendre sa voix et perpĂ©tuer la mĂ©moire de ces ĂȘtres humains, parfois oubliĂ©s... Jean Ferrat redonne vie Ă toutes ces victimes de la barbarie, en employant dans le dernier couplet le pronom "vous", il rappelle Ă l'humanitĂ© ces ĂȘtres martyrisĂ©s, il semble vouloir, aussi, abolir leur anonymat...
PubliĂ© le 21 FĂ©vrier 2013 par annepaingault NUITS ET BROUILLARS Paroles et Musique Jean Ferrat 1° Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers Nus et maigres, tremblants dans ces wagons plombĂ©s, Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et cent. Ils se croyaient des hommes n'Ă©taient plus que des nombres, Depuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s, DĂšs que la main retombe il ne reste qu'une ombre Ils ne devaient jamais plus revoir un Ă©tĂ©. 2° La fuite monotone et sans hĂąte du temps Survivre encore un jour, une heure obstinĂ©ment Combien de tours de roues d'arrĂȘts ou de dĂ©parts, Qui n'en finissaient pas de distiller l'espoir. Ils s'appelaient Jean; Pierre, Natacha ou Samuel, Certains priaent JĂ©sus, JĂ©hovah ou Vichnou D'autres ne priaent pas mais qu'importe le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre Ă genoux. 3° Ils n'arrivaient pas tous Ă la fin du voyage Ceux qui sont revenus peuvent-ils ĂȘtre heureux Ils essaient d'oublier, Ă©tonnĂ©s qu'Ă leur Ăąge Les veines de leurs bras soient devenues si bleus. Les allemands guettaient du haut des miradors, La lune se taisait comme vous vous taisiez, En regardant au loin, en regardant dehors Votre chair Ă©tait tendre Ă leurs chiens policiers. 4° On me dit aujourd'hui que ces mots n'ont plus cours Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour Que le sang sĂšche vite en entrant dans l'histoire Et qu'il ne sert Ă rien de prendre une guitarre. Mais qui donc est de taille Ă pouvoir m'arrĂȘter L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'Ă©tĂ©, Je twisterais les mots s'il fallait les twister Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous Ă©tiez. 5° Vous Ă©tiez vingt et cent, vous Ă©tiez des milliers Nus et maigres, tremblants dans ces wagons plombĂ©s, Qui dĂ©chiriez la nuit de vos ongles battants Vous Ă©tiez des milliers, vous Ă©tiez vingt et cent.
Luc MoyĂšres JâĂ©cris sur tout⊠et aussi sur rien, Car ça me fait du bien⊠et ça me tient debout. J'essaie aussi de creuser mes sujets, pour Ă©crire vrai, et si possible, utile. Si me lire avait lâheu ... [+] Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et cent... lâair lancinant de Nuit et Brouillard me trotte en tĂȘte. Au fait, combien Ă©taient-ils voici un an, combien sont-ils aujourdâhui ? Combien.... Dans ce morne horizon se sont Ă©vanouis ? Combien ont disparu, dure et triste fortune... ? Non, mon esprit sâĂ©gare, entraĂźnĂ© par le charme des mots. Ne fuyons pas la question ce ne sont ni les marins, ni les capitaines que visait mon interrogation, ni dâailleurs les dĂ©portĂ©s, quoi que... Je pensais en fait aux SDF sur Paris. La polĂ©mique a en effet rĂ©cemment lancĂ© une action mĂ©diatisĂ©e de recensement ponctuel, mais quiconque prend le mĂ©tro ou le RER tard le soir sait dĂ©jĂ , pour croiser leurs couchages, que le rĂ©sultat du dĂ©compte est dâĂ©vidence un multiple de cent, et sans doute de mille. Evanouis, disparus, câest vrai, ils le sont aussi, mĂȘme sans invoquer Hugo et son horizon marin, tant nous les croisons continuellement sans les voir. Une dame mâa rĂ©cemment abordĂ©, hier soir pour tout dire, Gare de Lyon, tandis que je filais vers mon RER en retour de dĂ©placement. Le temps que je comprenne quâelle mâinterpellait Ă voix douce pour quĂȘter, jâĂ©tais dĂ©jĂ engagĂ© dans lâescalator, sans lâavoir vraiment entendue, et Ă peine vue. Jâai eu, rĂ©trospectivement, lâimpression de lui ĂȘtre passĂ© au travers, et ça me trouble. Ăa me trouble, car je venais au fond, entraĂźnĂ© par le flot, de nier en acte une existence, qui par nature demande le respect. Je ne saurais pas vous dĂ©crire sa mise, ni mĂȘme sa couleur de cheveux, pourtant visibles ; ça, je mâen souviens quand finalement, ils le sont tout autant, brouillard et nuit ou pas. Prisonniers sans espoir dans un camp sans gardes, sans chiens loups, sans limites barbelĂ©es, tout aussi invisible que le furent pour les populations locales ceux du triste Reich de la honte ; prisonniers de leur condition dâexclus et sans plus de droits ou dâexistence reconnue que les malheureuses victimes de lâHistoire passĂ©e. Et lâon y meurt aussi, dans ce camp inavouĂ© et tacite quâest devenue la grande ville. De froid, certes, câest lâhiver et on en parle. Mais tout le reste de lâannĂ©e aussi, dâun tas dâautres causes dont la misĂšre et la solitude sont le seul trait commun. Combien, oui, dâailleurs, puisquâon est en hiver, combien sont morts de froid depuis ce dĂ©but dâannĂ©e 2018 ? Invisibles, lĂ aussi, dans les statistiques nĂ©crologiques, ils le sont. Un entrefilet çà ou lĂ , au hasard des journaux quotidiens, mais rien de bien clairement compilĂ© si on cherche sur internet. Ăa interpelle quand on y trouve sans difficultĂ© quâAssad aurait, Ă date, trucidĂ© 492 personnes depuis le dĂ©but de son offensive sur des quartiers de Damas oĂč nul dâaccĂšde tant le feu y est nourri. DĂ©nombrer sous les bombardements des Syriens dans les dĂ©combres de leur citĂ© martyre sâavĂšre sans doute plus simple que de le faire, avec dâailleurs lĂ encore des Syriens pour partie, chez nous Ă la nuit tombĂ©e sous nos porches, sous nos ponts et dans nos caves. Deux, huit, douze, vingt, davantage, pour ces morts de froid millĂ©sime 2018 » sous nos fenĂȘtres ? Comme le dit la pub du mĂ©tro il nâest pas que la pluie dâobus qui tue ». Notre indiffĂ©rence Ă tous, dont la mienne, et la pluie ordinaire dĂ©truisent disparus... Le dernier stade du dĂ©labrement des dĂ©portĂ©s, aux portes de la mort, sâappelait, je crois, musulman » dans lâargot des camps, sans doute parce quâils nâĂ©taient plus que dans la main de Dieu. Cette dĂ©nomination trĂšs particuliĂšre, il est vrai oubliĂ©e de nos jours, mâest curieusement revenue en mĂ©moire, je ne sais pourquoi, Ă lâĂ©vocation de ces malheureux que nous laissons crever dehors. Sur cette rĂ©miniscence incongrue, je me demande, notre rĂ©publique Ă©tant en manque de repĂšres laĂŻques, sâil ne faudrait pas inventer, au sortir des FĂȘtes de fin dâannĂ©e par exemple, une sorte de Ramadan RĂ©publicain. Outre lâeffet salutaire immĂ©diat de nous purger de nos rĂ©cents excĂšs de table, il aurait le mĂ©rite moral, comme le revendique son confrĂšre islamique, de rappeler aux riches que nous sommes lâexistence des pauvres que nous ne voyons plus. Vous aimerez aussi !Nouvelles Regards croisĂ©sLuc MoyĂšres Retour de dĂ©placement, un regard l'accrocha. Ronron du mĂ©tro, pas trop plein ce soir-lĂ , tous les usagers ou presque contemplaient leur smartphone, accaparĂ©s par son Ă©cran bleutĂ© ou feignant de ... [+]Nouvelles Essai, impair et passePatrick Liaudet Non, Jacky, t'es pas tout seul ; il y a toujours du monde dans les bistrots, gare de Perrache, place Bellecour ou rue de la Saint-Jean ouvre ses quinquets, ta carcasse d'ours ... [+]LivreNitro-collection 8 âŹ
et de jeunes gens dans cet endroit. en jonge mensen in die ne comprit pas le fait que ces HĂ©breux avaient une religion JĂ©rusalem comme le haut lieu de leur foi et respectaient le sanhĂ©drin comme le plus haut tribunal de la besefte niet dat deze HebreeĂ«n een werkelijke religie haddeneen geloof waarvoor zij bereid waren te sterven en dat overal door het rijk verspreid vele miljoenen Joden zich naar Jeruzalem richtten als het heiligdom van hun geloof en het Sanhedrin respecteerden als de hoogste rechtbank op rĂ©sumĂ© des millions d'Ćufs ont dĂ» ĂȘtre dĂ©truits car ils contenaient des teneurs en fipronil supĂ©rieures Ă la norme et n'Ă©taient donc pas conformes mĂȘme s'ils ne comportaient pas de risqueâŠ.Samengevat werden miljoenen eieren vernietigd omdat ze sporen van fipronil bevatten boven de norm en dus niet conform waren zonder dat zij een risico avaient littĂ©ralement des millions de vidĂ©os et ilsĂ©taient classĂ©s dans l'amateur et quand je dis amateur je veux dire amateur avec la poignĂ©e de vidĂ©os qui Ă©taient aussi crues que hadden letterlijk miljoenen video's en ze varieerden van amateur en als ik amateur zeg dan bedoel ik amateur tot het uiterste tot video's die zo rauw zijn als maar En mars dernier ilsĂ©taient des millions Ă dĂ©filer dans les rues pour protester contre la guerre Ă Hongkong et Ă Londres Ă Jakarta et Ă Berlin Ă Hiroshima et Ă Rio de Janeiro Ă Washington et Ă herinnert zich nog wel datvier maanden geleden in maart miljoenen de straat opgingen om tegen de oorlog te protesteren in Hongkong en Londen in Jakarta en Berlijn in Hiroshima en Washington in Rio de Janeiro en ce temps il avait encore sentir pas dĂ©veloppĂ© de plantes oud'animaux sur les terres ainsi donc ils Ă©taientdes animaux marins en haute nĂ©cessitĂ© de nouvelles algues et autres aliments parce dĂ©veloppĂ© algues et et permis aux animaux de vivre sous la surface pour un peu plus de 100 des millions d' deze tijd zou het nog steeds wordt niet ontwikkeld planten ofdieren op het land dus daarom waren zij zeedieren in hoge nood aan een nieuwe algen en ander voedsel algen en daarom ontwikkeld en maakte het mogelijk voor de dieren om onder de oppervlakte te leven voor een paar honderd miljoen l'heure actuelle il ne reste plus que Ă©lĂ©phants dans le mondeVandaag zijn er over de hele wereld nog maar hebben er wel 6 miljoen gedood omdat ze niet blond met blauwe ogen que les dommages fussent assezlimitĂ©s en valeur absolue30172 millions EUR ils Ă©taient suffisamment graves pour dĂ©passer le seuil de 06% du RNB de Malte 2426 millions de schade in absolute termen vrij beperkt was30172 miljoen euro werd de drempel van 06% van het BNI van MaltaEn parlant de dinosauresles requins sont en gros les mĂȘmes poissons qu'ils Ă©taient il y a 300 millions d' dinosaurussen gesprokenhaaien zijn eigenlijk dezelfde vissen die ze 300 miljoen jaar geleden centre de l'archipel Cyclades Ă©taient créés il y a des millions d'annĂ©es aprĂšs un certain nombre de convulsions gĂ©ologiques des tremblements de terre et des Ă©ruptions auxquelles ils doivent leur forme particuliĂšre en combination de la composition de leurs het centrum van archipel werden Cycladen gecreeerd miljoen jaar geleden na de geologic uitbarstingen aardbevingen en uitbarstingen die ook hun eigenaardige vorm zo aan de samenstelling van hun grond verschuldigd y avait 5 millions de chĂŽmeurs dans l'ensemble de la CE en 1977;In 1977 waren er in de gehele Gemeenschap 5 miljoen werklozen;S'il y a bien un racisme qui sĂ©vit c'est celui de M. Ford dont les maĂźtres Ă penseront assassinĂ© 200 millions de personnes dans le monde parce qu'ils Ă©taient paysans bourgeois ou er al racisme is dan is het wel het racisme van mijnheer Ford en degenen die zijn gedachtengoed hebben uitgevondenen in de hele wereld meer dan 200 miljoen mensen hebben vermoord omdat het boeren burgers of christenen internationale du TravailOIT estime queDe Internationale ArbeidsorganisatieILO schat dat er164 miljoen migrerende werknemers zijn dat is een stijging met 9% sinds 2013 toen het geschatte aantal migrerende werknemers 150 miljoen Ă©taient de 1 844 millions d'euros au premier trimestre de l'annĂ©e 2012 en raison du rĂ©sultat exceptionnel de 1 790 millions d'euros enregistrĂ© Ă l'occasion de la cession par le Groupe d'une participation de 287% dans KlĂ©pierre bedroeg in het eerste kwartaal van 2012 miljoen euro wegens het uitzonderlijke resultaat van miljoen euro dat werd gerealiseerd op de verkoop door de groep van een participatie van 287% in KlĂ©pierre mystĂšre a donnĂ©naissance Ă de nombreuses lĂ©gendes et des hypothĂšses mais il est certainement encore inconnue pourquoi les dinosaures sont devenus millions Ă©teints il ya d'annĂ©es mais dĂ©jĂ bien connu de la science comme ils Ă©taient de manger comment ils vivaient et combien de variĂ©tĂ©s de ces mysterie heeft geleidtot vele legendes en hypothesen maar zeker is het nog onbekend waarom de dinosauriĂ«rs uitstierven miljoenen jaren geleden maar nu al goed bekend bij de wetenschap als ze waren dan eet hoe ze leefden en hoe vele variĂ«teiten van deze joekels. quand l'Univers Ă©tait beaucoup plus jeune!Dus we zien eigenlijk hoe die objecten er miljoenen of miljarden jaren geleden uit zagen! PME avec un capital vertoonden wel belangstelling maar waren niet bereid om miljoenen te storten op de rekening van een kleine KMO met een beperkt l'heure actuelle le systĂšme mondialcompte plus de 100 millions de blogs alors qu'en 2004 date de lancement de la prĂ©sente lĂ©gislature parlementaire ils Ă©taient wereldwijde systeem bevat momenteelmeer dan honderd miljoen blogs. Toen deze zittingsperiode in 2004 begon waren er nog geen et Passepartout comprirent qu'ils Ă©taient entrĂ©s dans une tabagie hantĂ©e de ces misĂ©rables hĂ©bĂ©tĂ©s amaigris idiots auxquels la mercantile Angleterre vend annuellement pour deux cent soixante millions de francs de cette funeste drogue qui s'appelle l'opium!Fix en Passepartout begrepen dat zij eene herberg waren binnengetreden die gewoonlijk bezocht werd door de ongelukkigen welke door het opium-schuiven worden bedwelmd waarvan het handeldrijvende Engeland jaarlijks voor honderd dertig millioen gulden verkoopt!En les observant les astronomes ont rĂ©ussi Ă voir la lumiĂšre qui avait voyagĂ© pendant prĂšs de 13 000 millions d'annĂ©es; en d'autres motsDoor te kijken naar deze zeer verre objecten zijn astronomen in staat licht te zien dat al 13miljard jaar onderweg is dus zien ze die objecten nu zoals ze eruit zagen minder dan 1 miljard jaar na de Big ils disent que Novus leur planĂšte d'originea une population de plusieurs millions et Ă les entendre ils Ă©taient trĂšs avancĂ©s zij beweren dat Novus de Planeet waarzij vandaan kwamen een miljoenenpopulatie heeft en zo te horen waren zij technologisch behoorlijk la pĂ©riode cambrienne ils Ă©taient prĂ©sentĂ©s d'abord par les habitants des mers trilobitami qui ont disparu dans la pĂ©riode de Perm durant de 286 Ă 248 millionsdes annĂ©es en Cambrian tijdvak zij at voorop werden van obitatelyami zeeen trilobitami welk vymerli in permskom tijdvak dlivshemsya met 286 tot toe 248 mln gepresenteerd. Jaren les donnĂ©es disponibles environ 4 millions de personnes soit 16% de la main d'Ćuvre travaillent actuellement plusde 48 heures par semaine alors qu'ils n'Ă©taient que millionssoit 15% au dĂ©but des annĂ©es de beschikbare gegevens zouden ongeveer 4 miljoen personen dus 16% van de arbeidskrachten momenteel meer dan48 uur per week werken terwijl zij begin 1990 nog maar met 33 miljoen dus 15% waren.
ils étaient des milliers ils étaient vingt et cent